Aujourd’hui, à l’ère du tout numérique, les données personnelles des internautes sont utilisées et exploitées par de nombreux tiers, à des fins de marketing et de publicité.
Toutes ces données suscitent la convoitise et font l’objet d’innombrables cyberattaques qui ciblent particulièrement les informations personnelles identifiables (IPI) très sensibles, et dont la divulgation peut exposer leurs propriétaires à des risques très élevés. En outre, ces violations de données ont également des impacts désastreux sur les organisations victimes, ainsi que sur leurs équipes et partenaires. Confiance érodée, réputation altérée, image de marque dégradée… Autant de conséquences qui menacent la pérennité des organisations ciblées et qui les exposent, notamment, à de lourdes amendes pour violation du RGPD et des réglementations en vigueur en matière de confidentialité des données.
La mise en œuvre d’une architecture Zero Knowledge se présente, dès lors, comme un réel bouclier contre les cyberattaques, grâce au chiffrage de toutes les données de l’organisation, surtout côté client. En cas de violation, seuls les textes chiffrés, constitués de lettres et de chiffres aléatoires et illisibles, sont compromis, ce qui ne représente aucune menace stratégique, ni pour l’organisation ni pour ses clients. Ce haut niveau de protection fait du Zero Knowledge le moyen le plus efficace pour protéger les données des utilisateurs, particulièrement lorsqu’il est associé à une architecture de sécurité Zero Trust.
Notons, aussi, que dans un environnement Zero Knowledge, les fournisseurs ne stockent pas les clés de chiffrement et n’y ont pas accès eux-mêmes ! À l’avenir, on pourra assister à l’adhésion davantage d’organisations au Zero Knowledge, ce qui pourrait conduire à une baisse significative des violations de données et de leur niveau de gravité.
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