En effet, si la blockchain est toujours en tête en France, le reste du classement diffère sensiblement de celui de l’Europe. Ainsi, le peloton de tête est complété par la production vidéo et le raisonnement analytique. Les stratégies compétitives occupent la 4e place, suivies des médias sociaux et du marketing d’affiliation. Aux 7e, 8e et 9e rangs, on retrouve respectivement le cloud computing, la communication d’entreprise et l’informatique scientifique. La conception UX vient en dernière place.
Selon une analyse de la plateforme Lesjeudis, la demande en compétence blockchain
« a augmenté avec l’émergence en 2015 de la chaîne de blocs Ethereum ». Même si le marché devrait connaître un certain ralentissement d’ici la fin de l’année en raison de la crise liée à la Covid-19, son chiffre d’affaires est estimé à 21,07 milliards en 2025, contre 1,64 milliard de dollars en 2017. Une situation surveillée de près par les acteurs de la
formation dans le domaine informatique, afin de booster le taux d’employabilité des nouveaux diplômés et de promouvoir des profils rapidement opérationnels.
En effet, selon le site Blockchain France, qui se trace pour objectif de « démocratiser la blockchain auprès du grand public et des entreprises », « la France ne doit pas rater la révolution blockchain. De nouveaux business modèles vont se mettre en place et bousculer l’ordre établi. Nous sommes aux prémices d’une révolution dont la portée est encore difficile à mesurer mais aux champs d’applications infinis. »
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