Achat de logiciels : l’embellie se poursuit en 2023
03/02/2023
Les approches d’achat diffèrent d’une organisation à l’autre
La hausse des investissements envisagés en 2023 sera supérieure à 2022 à hauteur de 21 % au moins. Pour 38 % des 248 sociétés sondées, l’augmentation de la productivité des collaborateurs constitue le premier objectif de leurs acquisitions de progiciels. Par ailleurs, 32 % des entreprises privilégient des solutions informatiques susceptibles de les protéger contre les cyberattaques et 27 % d’entre elles ont pour objectif de remplacer des solutions obsolètes ou dépassées par les avancées technologiques.
En ce qui concerne les processus d’achat des logiciels, l’enquête de Capterra fait un premier constat intéressant. En effet, les achats sont, généralement, le fruit d’un travail collégial, auquel prennent part entre quatre et six personnes dans 37 % des organisations, tandis que 30 % des organisations se contentent de deux à trois intervenants. Dans un peu moins d’une entreprise sur deux, c’est souvent à un cadre supérieur (le directeur général dans 37 % des cas) que revient la décision de choisir. Cette étape est précédée, dans 38 % des groupes de travail, par des tests de produits. Pour leur part, 32 % de sociétés sondées font confiance aux avis d’experts pour leur prise de décision, alors que 30 % d’entre elles s’appuient sur les démonstrations.
La prise en main rapide d’un logiciel par les équipes constitue le premier critère pris en considération (41 %). En effet, 40 % des entreprises affirment ne pas investir dans une solution par crainte de provoquer un ralentissement de leur activité ou de se retrouver face à une courbe d’apprentissage complexe lors de la phase de déploiement. Pour 37 % des entreprises, les capacités d’intégration avec d’autres systèmes en place constituent le premier critère de choix. Le tarif et la sécurité arrivent en dernier lieu (35 %).
En ce qui concerne les processus d’achat des logiciels, l’enquête de Capterra fait un premier constat intéressant. En effet, les achats sont, généralement, le fruit d’un travail collégial, auquel prennent part entre quatre et six personnes dans 37 % des organisations, tandis que 30 % des organisations se contentent de deux à trois intervenants. Dans un peu moins d’une entreprise sur deux, c’est souvent à un cadre supérieur (le directeur général dans 37 % des cas) que revient la décision de choisir. Cette étape est précédée, dans 38 % des groupes de travail, par des tests de produits. Pour leur part, 32 % de sociétés sondées font confiance aux avis d’experts pour leur prise de décision, alors que 30 % d’entre elles s’appuient sur les démonstrations.
La prise en main rapide d’un logiciel par les équipes constitue le premier critère pris en considération (41 %). En effet, 40 % des entreprises affirment ne pas investir dans une solution par crainte de provoquer un ralentissement de leur activité ou de se retrouver face à une courbe d’apprentissage complexe lors de la phase de déploiement. Pour 37 % des entreprises, les capacités d’intégration avec d’autres systèmes en place constituent le premier critère de choix. Le tarif et la sécurité arrivent en dernier lieu (35 %).
Les entreprises portent une attention particulière aux fournisseurs
Le savoir-faire des fournisseurs en matière d’intégration est un facteur de choix qui fait la différence pour 40 % des sondés. La fiabilité des équipes de vente et la flexibilité du processus d’achat constituent des éléments décisifs pour 36 % des clients, tandis que l’expertise produit de l’équipe de vente est importante pour 35 % d’entre eux. On apprend aussi que la flexibilité dans la programmation des logiciels ou les options open source constituent des critères décisifs pour 34 % des entreprises.
L’efficacité des supports peut plaider en faveur d’un éditeur plutôt que d’un autre lors de l’achat d’un logiciel. Lors de l’implémentation d’un logiciel, 35 % des entreprises donnent la priorité à la possibilité de bénéficier de l’accompagnement d’un service client. D’autres clients exigent des flux de travail flexibles (41 %), des éléments personnalisés (40 %), ou encore un espace de connaissance pour l’autoformation/des tutoriels (35 %).
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L’efficacité des supports peut plaider en faveur d’un éditeur plutôt que d’un autre lors de l’achat d’un logiciel. Lors de l’implémentation d’un logiciel, 35 % des entreprises donnent la priorité à la possibilité de bénéficier de l’accompagnement d’un service client. D’autres clients exigent des flux de travail flexibles (41 %), des éléments personnalisés (40 %), ou encore un espace de connaissance pour l’autoformation/des tutoriels (35 %).
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